))
))
Finalement, j’ai mis les liens vers les grandes photos!!!))
Le stand Soleil à l’intérieur de l’immense bulle des éditeurs.
))
La bulle des éditeurs qui donne une minuscule idée de l’immensité de l’endroit.
))
En pleine dédicace
))
Ma douce et moi. ( Merci è Frédéric pour les 2 photos )
))
Dans l’ordre, Guylaine ma conjointe, Laurence la conjointe de Jean-Luc Istin, Moi, Max la coloriste de Mike, Mike Ratera et la conjointe de Sergi dont j’oublie malheureusement le nom.
))
Sergi Cardo, un excellent dessinateur espagnol avec qui j’ai un projet de série.
))
Guy Michel, un sympathique gaillard, que je rencontrais pour une toute première fois. Manque également Éric Lambert avec qui j’ai bien rigolé.
))
Guylaine, qui voyait la tout Effeil pour la toute première fois et qui a décidé de s’en coiffer.
))
Sur Paris, nous avons été accueillis le premier soir par Fanfan et Babeth. Accueilli est un bien faible qualificatif. Je n’aurai jamais assez de mots pour les remercier de la gentillesse qu’ils ont eu pour nous. Dans l’ordre, Jackie, le papa de Babeth, un super type avec qui j’ai pu discuter hockey. La charmante Babeth, excellente cuisinière! Guylaine, Martine, la maman de Babeth. Moi, et super Fanfan! N’apparaît pas sur la photo, Alexis, le fils de Babeth et Fanfan qui souffrait d’un rhume ( le lendemain après qu’il eu su qu’il n’irait pas à la marternelle, il tenait une forme terrible! )
))
Surprise de taille qui m’attendait pour le deuxième soir. Un dîner avec une quinzaine de personnes qui s’étaient déplacés pour venir nous tenir compagnie. Ça nous a réellement fait chaud au coeur. De gauche à droite: Christophe Lacroix, à qui je dois beaucoup, Élodie, sa conjointe et excellente coloriste, François Deblois, Tony, Bruno Stambecco un super type! Solène la conjointe de Tony. Super Fanfan, Babeth, Ronan Lebreton, Erwan Lebreton, Guylaine et Quentin.
))
Manquait sur la photo Dim D, pour qui j’ai eu grand plaisir à revoir. J’aurais aimé discuter plus longuement avec tous mais le petit salon dans lequel nous étions ne le permettait pas.